se soigner autrement : decouvrte de soi et réharmonisation

LA MUSIQUE DE JACOTTE CHOLLET :
OUTIL DE DÉCOUVERTE DE SOI
ET DE RÉ HARMONISATION.

Le parcours de Jacotte Chollet est une belle histoire, une allégorie du Petit Prince d’Antoine de Saint Exupéry, lorsqu’il écrivait :
“Les hommes de chez toi cultivent 5000 roses dans un même jardin et ils n’y trouvent pas ce qu’ils cherchent et cependant, ce qu’ils cherchent pourrait être trouvé dans une seule rose !”.

Lorsqu’un jour, à l’école primaire, Jacotte Chollet découvre la carte de France affichée sur le mur de la salle de classe, elle est consternée de constater que tout autour de nos frontières, il n’y a que du blanc, comme si la France était seule au monde.

Plus tard, Jacotte Chollet comprend que ce jour-là, elle a prit conscience de la façon dont l’homme occidental réfléchit et appréhende les choses : allant toujours vers le détail, le morcellement, démarche caractéristique d’un esprit fracturé. Or, on ne peut aller vers une chose sans en exclure une autre. Comment s’étonner alors que l’on trouve le phénomène d ’ “exclusion” à tous les niveaux de notre société.
Après ses études de linguistique, Jacotte Chollet devient photographe-reporter, puis réalisatrice de télévision.

C’est ainsi qu’elle a la possibilité de voyager au cœur des civilisations du monde (Nouvelle Guinée, Kenya, Australie, Népal, Thaïlande, Bangladesh, Laponie, Yémen du Nord, Haïti…). L’étude ethnographique et sociologique de ces peuples lui permet de comprendre que, au-delà des particularismes propres à chacun, des similitudes marquantes réunissent tous les hommes, en particulier face aux grands “événements” de la vie.

Jacotte Chollet prend progressivement conscience de l’existence d’autres façons de fonctionner, de capacités de l’esprit que certaines civilisations ont étudiées et prennent en compte, mais que l’Occident n’a pas intégré, car il les considère comme magiques, bizarres.
Pourtant, les rencontres qu’elle fait ensuite lui permettent de constater que ces capacités fantastiques sont étudiées par des scientifiques novateurs, comme Karl Pribram (Neurochirurgien) :  “Notre cerveau fonctionne comme un hologramme” ;
David Bohm (Physicien quantique) : “Physique quantique et conscience” ; Norman Cousins (Directeur de recherche à l’université de Los Angeles) : “L’influence de l’esprit sur le corps, le rôle des émotions négatives et positives dans le déclenchement et la guérison des maladies” ; Professeur Liebeskind (Psychophysiologiste) : “La conscience psychophysique” ; Edgar Mitchell l’un des astronautes qui marcha sur la Lune, et fonda le “Noetic Institute” à San Francisco, pour développer l’étude des capacitésde l’esprit : Noos en grec ; Professeur Paul D. Maclean “Nos trois cerveaux et leurs fonctions : cerveau reptilien, cerveau limbique et néocortex”…

La synthèse que Jacotte Chollet éffectue ensuite de leurs travaux la conduit à une profonde réflexion sur le psychisme de l’homme, son rôle, l’interaction entre ses différents “sens”, les modalités du fonctionnement de sa “conscience” et les liens qui unissent corps
et psyché.

Elle se rend compte que toute notre construction mentale est basée sur l’aspect visuel : écriture, ordinateur, raisonnement scientifique, mode de l’image. Il y a toujours un intermédiaire (la photographie, le film, le livre…) qui filtre et stock les données : or, le stockage de l’information entraîne ipso facto une perte de contact avec ces mêmes données.

Par la vision, nous percevons un monde fait de catégories et d’objets séparés, alors que sur un plan subtil, nous baignons dans un océan de vibrations dans lequel tout est relié. L’écoute nous met en contact avec l’unité de l’être et de la vie, alors que le regard nous met en contact avec la division observateur/observé.

Les civilisations que Jacotte Chollet a eu l’occasion d’approcher sont, quant à elles, beaucoup plus auditives, et leur conception du monde est transmise par oral (leur vision du monde est une audition du monde). La variété de leurs sons et de leurs musiques est si impressionnante que nos sept notes ne suffisent pas à les reproduire – il y a des trous entre nos notes ! ! !

Comprenant que l’ouïe, sollicitée par les vibrations sonores, active un autre mode de fonctionnement cérébral plus global, elle décide de s’engager expérimentalement sur une nouvelle piste : l’étude des effets vibratoires du SON sur le psychisme humain.
En effet, le son est un véhicule périodique qui ne contient pas que la partie grossière qu’on appelle son, mais également une information vibratoire qualitative, non quantifiable dans l’état actuel de la technologie.

N’oublions pas que notre première appréhension du monde est sonore : dès les premières semaines, l’embryon développe ses oreilles ; il est relié au monde par les battements du cœur de sa mère et perçoit celui-ci de façon sonore.

Dans les années 1980, les synthétiseurs deviennent accessibles financièrement au grand public et Jacotte Chollet se dit : “Voilà l’outil qu’il me faut !” .
Elle démarre alors sa grande aventure de création directe de musique (sans écriture préalable), effectuée dans un état de conscience différent et unifié, et utilisant une gamme beaucoup plus vaste de fréquences sonores qu’un instrument de musique traditionnel (fréquences hyper aiguës et hyper basses).

Le résultat est une musique harmonieuse et tout à fait singulière :
la MUSIQUE MULTIDIMENSIONNELLE (MMD) à l’écoute de laquelle les auditeurs entendent leur propre résonance, leur propre musique intérieure, en fonction de l’état physique, psychique ou émotionnel.

Elle expérimente ensuite les effets de l’écoute de sa musique sur de sujets volontaires et constate que celle-ci induit, chez la plupart d’entre eux, des états exceptionnels de conscience, des expériences physiques et psychiques inhabituelles, par exemple : sensations de vibrations en différents points du corps, perte de la notion de temps ; vision de couleurs vives et très brillantes ; déroulement de scènes issues de leur passé ; réveil de douleurs anciennes relatives à des traumatismes, accidents, opérations ou vielles douleurs chroniques inexpliquées ; sensations de transfert d’énergie entre les deux hémisphères du cerveau ; sensation d’agacement inexplicable ; profond sommeil des les premières minutes de musique, etc…

Les réactions sont si différentes et individuelles, que personne ne semble entendre la même musique ; de plus, les sensations de chaque auditeur changent au fil des écoutes, comme si chaque expérience permettait une sorte de progression dans une “géographie intérieure” spécifique à chacun.

En fait les auditeurs entendent leur propre resonance, leur propre musique intérieure, et la perception qu’ils en ont est fonction de leur état physique, psychique ou émotionnel.
En 1991, Jacotte Chollet rencontre le Professeur Régis Dutheil, et leur collaboration permet de comprendre les effets de la musique qu’elle a créé, qui peuvent s’expliquer par la physique quantique.

Dans son livre “La Médecine Superlumineuse” (Editions SAND), le professeur Dutheil consacre un chapitre aux travaux de Jacotte Chollet :

“Nous voudrions à titre d’exemple signaler une méthode tout à fait originale, écrit le Professeur Dutheil, elle consiste à induire des états de conscience “différents” de l’état de conscience habituel et a simultanément une action somatique, la conscience du sujet envoyant des messages sur le dysfonctionnement ou les zones d’ombre au niveau somatique.”

En effet, l’écoute de cette musique provoque chez l’auditeur un différentiel entre sa propre fréquence vibratoire et celle de la musique, de sorte que ses propres dysharmonies lui deviennent perceptibles. Cette mise en lumière provoque à son tour une remise en conscience et en ordre des problèmes, selon une chronologie et des critères d’urgence propres à chaque personne.

Les témoignages d’auditeurs sont extrêmement nombreux, en voici quelques brefs extraits : réveil d’anciennes douleurs physiques, puis soulagement, et enfin, disparition ; disparition instantanée ou progressive de troubles physiques divers ; diminution puis disparition de l’insomnie ; antidépresseur ; effet anti-fatigue, sentiment de régénération, amélioration des facultés cérébrales (attention, concentration, mémoire) ; disparition de difficultés scolaires chez les enfants ; mise en conscience puis dissolution de souffrances psychiques profondes…

Deux étapes donc : tout d’abord le rétablissement de l’information (la douleur par exemple) puis la remise en ordre.
A l’époque de ses premiers essais, Jacotte Chollet n’avait pas pensé aux incidences de l’écoute de sa musique sur la santé : ce fut un effet secondaire, parfaitement désirable.

En 1992, Jacotte Chollet fait la connaissance d’une biologiste, Lydie Ries, qui sur les conseils du Professeur Dutheil, entreprend des recherches sur les effets physiologiques de cette musique. Des prélèvements sanguins sont effectués sur des volontaires,avant et après écoute.

Elle constate que l’écoute de cette musique provoque une élévation notable du taux d’hémoglobine (globules rouges) et de globules blancs (notamment les polynucléaires neutrophiles) ainsi qu’une hyper oxygénation des cellules sanguines. Au bout d’un certain nombre d’écoutes de la musique de Jacotte Chollet, cette amélioration s’inscrit dans la permanence.

Un jour, des prélèvements sanguins vieux de trois jours sont retrouvés dans le réfrigérateur (ils y avaient été oubliés), et leur analyse se révèle particulièrement intéressante : les cellules prélevées avant écoute ont perdu leur forme et donc leur INFORMATION, ce qui est considéré comme une loi normale du vieillissement ; les cellules a-nucléées (sans noyau : les globules rouges) ont perdu leur forme. En revanche, les cellules nucléées (à noyau : les globules blancs) qui ont “résonné” avec la MMD ont conservé de 70 à 90% de leur forme et donc de leur INFORMATION : le vieillissement a été considérablement ralenti !

Lydie Ries avance alors l’hypothèse que la captation de l’information se ferait par le noyau (donc l’ADN) qui jouerait un rôle d’antenne électromagnétique lors de l’écoute de la musique.

Cette musique est un outil qui permet d’être à l’écoute de soi, de prendre réellement conscience de soi, de son état réel, de se ré harmoniser sur tous les plans, et surtout de reprendre la souveraineté sur soi-même.

Aujourd’hui, Jacotte Chollet poursuit son travail de création et d’expérimentation.
Beaucoup de recherches restent encore à effectuer, en particulier faire écouter cette musique à des cultures de cellules.
On ne peut que lui souhaiter de rencontrer de conjonctions favorables qui lui permettent de poursuivre cette route !

DANIÈLE SIMON
SE SOIGNER AUTREMENT – N° 23 |

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