renaissance jacotte chollet

RENAISSANCE – Jacotte Chollet

SAINTE MÈRE ! DIEU TOUT PUISSANT! C’EST VRAI !
Après plusieurs visites sur son site, je me suis enfin décidé à acquérir la série des 10 ALBUMS de Jacotte Chollet une artiste Française du SON VISIONNAIRE.
J’avoue que cette musique représente à mes yeux une des synthèses les plus achevées que j’ai eu le plaisir d’expérimenter et qu’elle me semble avoir un réel pouvoir thérapeutique dont on ressent les effets directement dans son corps.
Je vais étudier les albums l’un après l’autre de très près et je ne rédigerai mes critiques qu’après en avoir assimilé les effets.
Sur le site Internet, on dit que la finalité de cette musique est de redonner de la cohérence à notre champ bioénergétique (les différentes couches d’énergie aussi appelées « champ aurique ») et d’harmoniser en profondeur ces différentes structures énergétiques dans le but de restaurer notre intégrité (originelle).
Riez si vous voulez, mais je suis enclin à penser que c’est vrai !

Moins de 30 secondes après le début de « RENAISSANCE » premier disque de la série, j’ai les mêmes effets qu’après avoir ingéré un enthéogène, j’en ressens les premières manifestations : une légère anxiété suivie par une dissolution de ma conscience ordinaire personnelle.
Dans cette première plage « LIBERTE » harpes, synthés et cordes créent un environnement assez classique, mais ce qui l’est moins, c’est que la musique vous transporte vers les niveaux supérieurs de la conscience exactement comme le ferait un enthéogène !
La musique est d’ailleurs d’une grande beauté, elle est majestueuse et magnifiquement réalisée. Un accent de harpe me fait glisser dans une bien-heureuse rêverie, je me laisse doucement emporter par les ondes THETA, je ressens de puissantes énergies de guérison et je m’enfonce dans un état de semi conscience. Tout se passe très rapidement, et après seulement 6 minutes d’écoute toute trace d’anxiété a disparu. Les modulations de harpe se font plus amples et plus profondes, je sens que je suis à présent en état « ALPHA » ce qui me permet d’être plus conscient et de localiser plus facilement les points de mon corps qui sont « traités » par la musique (pour ma part, il y en a beaucoup, mais je suppose que c’est différent pour chacun, selon son propre tempérament).
Je réalise aussi que cette musique stimule particulièrement le chakra du cœur et les chakras supérieurs.

Seconde plage : « TRANSFORMATION », après trois minutes, je me sens très lourd, les ondes DELTA me font sombrer dans une sorte de sommeil paradoxal peuplé d’images très fortes et de rêves fleuris (et sans assistance chimique, rendez-vous compte !)
Dans « une vision », « On » m’indique où se situe exactement la source de la douleur chronique qui m’affecte, « on » me montre EXACTEMENT où se situe le problème et je me rends compte que je vais devoir changer si je veux le régler.
Cette musique me rappelle celle de Michael Hammer, j’ai l’impression que ces deux compositeurs accèdent à des niveaux énergétiques comparables. La musique de Michael est très brillante, il y a bien avec de ci de là quelques passages plus « gazeux », mais le coté brillant prédomine.
La musique de Jacotte est comparable mais elle possède en plus un intriguant pouvoir de rêve, il s’en dégage un surplus d’âme.
Pour ma part, je range les énergies auxquelles tous deux accèdent dans la catégorie des “énergies de l’ascension”. Ces énergies sont en contact direct avec le Divin et sont alignées sur les dimensions spirituelles les plus élevées (celles des maîtres ascensionnés). Les énergies de l’Ascension ont leur source dans la tradition christique, elles viennent en droite ligne de la Gnose Grecque et du Christos qui inclut non seulement Jesus mais d’autres figures représentant le Sacrifice, le Pardon et la Guérison. Ce sont les maîtres ascensionnés de la quatrième sphère de l’Arbre de Vie, un groupe plutôt multiculturel. Chaque figure de cette oligarchie étant l’incarnation d’une certaine qualité ou forme du divin.
Ces musiques d’Ascension sont très différentes de celles de Richard Shulman fortement imprégnées de tradition catholique ou de celles de David Hykes plus traditionnellement liturgiques même s’il les a relookées par le chant harmonique.
On peut citer d’autres musiques : Patrick Bernhardt utilise des mantras sacrés pour évoquer les traditions Védiques, Abrahamiques ou des traditions chamaniques qui conduisent aussi à un contact avec le Divin.
Des compositeurs de musique angélique comme Raphael ou Aeoliah s’inspirent de thèmes connus de la musique classique. Je devrais aussi faire mention des créations du compositeur Grec de musique Gnostique Paul Avgerinos.
Mais RENAISSANCE transcende les cultures, échappe au prévisible et au connu et fait sentir son influence jusque dans le corps !

La plage suivante « EXPANSION » (10 minutes) débute par une séance de massage accéléré du troisième œil, puis la musique campe un environnement sonore à la Brian ENO. A peine deux minutes après le début, je sens de nombreux échanges énergétiques à l’intérieur de ma tête, c’est comme si mon crâne devait se réajuster sous l’influence des enveloppes sonores.
Je ressens de puissantes vibrations dans le chakra de base et la plante de mes pieds me picote, puis c’est mon pied droit tout entier qui picote et le courant remonte jusqu’à ma hanche. (je me souviendrais, plus tard, de la blessure que j‘avais eu à cet endroit, 34 ans plus tôt).
Un flux d’énergie irradie l’intérieur de ma colonne vertébrale la circulation s’exerce sur toute sa longueur et guérit au passage plusieurs blocages, puis l’emphase est mise sur deux vertèbres supérieures entre lesquelles l’énergie semblait mal circuler.
Ce qui est vraiment fabuleux, c’est que tout semble d’une précision absolue et pourtant je n’expérimente là « qu’un nombre restreint » de tous les effets que ce son cohérant peut déclencher…
Durant les dernières minutes de cette plage, mon attention reste concentrée dans le troisième œil. Je suis très conscient et rempli d’énergie. Je situe cet état dans les fréquences supérieures de l’ALPHA ou dans les fréquences inférieures du BETA, puis la musique se termine.

La dernière musique « RENAISSANCE » est une véritable séance d’entraînement pour le troisième œil !
Des spirales photoniques font des ricochets à l’intérieur de mon crâne, ça dure une éternité, c’est génial !
A la fin tout est clair dans ma tête, mon attention est parfaitement concentrée, je me sens tout à fait Présent.

Cet enregistrement m’a procuré une très profonde expérience énergétique, chaque nouvelle écoute a déclenché de nouveaux effets. Depuis, mon sommeil est plus profond et je fais plus de rêves. Si je devais le qualifier, je dirais que ce disque est une incitation à rester ouvert au changement.
La Musique est le langage des émotions, c’est notre façon de communiquer des états d’Etre très particuliers, c’est une des raisons qui m’ont fait m’impliquer dans l’Art du SON VISIONAIRE car je suis continuellement à la recherche de musiques thérapeutiques ou musiques d’essence spirituelle. Les artistes qui parviennent à ce niveau sont rares et leurs créations reflètent les plus hauts degrés de l’expression sonore… IMHO (Michael Hammer), Patrick Bernhardt, Iasos et Jeffrey Thompson sont les principales signatures de ce groupe, je pense que nous devons y accueillir Jacotte Chollet (et je dis cela après avoir écouté seulement deux de ses CD !)

Ma principale recommandation est la suivante : si vous avez l’intention d’acheter un de ses disques, vous auriez meilleur compte d’acheter toute la collection d’un coup parce que, de toutes façons, vous les voudrez tous… je dis ça comme ça…

DARV KRIZTON, VISIONARY SOUND ARTS INTERFACE.

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INVISIBLE PRESENCE – Jacotte Chollet

Les travailleurs de lumière qui sont à la recherche d’information vibratoire devraient se pencher sur toute la série de disques de Jacotte Chollet.
C’est une musique capable de restructurer le champ bio énergétique et de l’harmoniser en profondeur.
Je ne blague pas.
L’enregistrement : INVISIBLE PRESENCE » améliore la connexion de l’auditeur avec son « Higher Self », son « ange gardien » ou son « maître intérieur », quel que soit le nom qu’on lui donne.

À LA RENCONTRE DU LOGOS SOLAIRE : UN INCROYABLE VOYAGE EN ONDES THETA AU CŒUR DE L’ÊTRE.

L’ambiance tonale de « TRANSFERT » (16’) rappelle les productions de « Tangerine Dream » et de Kraftwerk mais, ici, le rythme qui est lent induit un état de transe soutenu. Des « woosh » suggèrent un transfert à travers un long tunnel menant à la porte des étoiles.
L’atmosphère sombre inspire une certaine inquiétude, On sent que l’on approche d’une puissance nébuleuse qui paraît redoutable.
J’ai ressenti la même inquiétude à chaque fois que je me suis reconnecté avec des sentiments que j’avais réprimés en dessous de mon seuil de conscience, à chaque fois que je suis allé à la rencontre de mon « ombre ».
Au tout début, on a l’impression d’aller de l’avant vers le haut, puis, au bout de 4 minutes, les déclinaisons en decrescendo de la mélodie vous absorbent et vous entraînent dans une descente vers un état de transe tout à fait confortable.
Pour savourer pleinement la puissance de cette musique, le mieux est de l’écouter tard dans la nuit. L’effet est vraiment « planant », on est sans aucun doute dans les tranches moyennes des fréquences cérébrales THETA .
Je ressens des effets relaxants et une clarification dans le haut de mon corps, vers la fin du morceau j’ai l’impression qu’un certain « travail » a été accompli.

La plage suivante « EVOCATION » (11’) commence par des mouvements tournoyants dont les effets se font sentir à la fois dans le cœur et dans la tête. Un piano égrène une mélodie dont les notes singulières percutent le sommet du crâne et même juste au-dessus.
Il y a un effet choral très intéressant à connotation de chant Grégorien. On ne peut pas clairement interpréter ce que disent les voix chantées, on est invité à leur prêter nous-même un sens (notre propre interprétation sémantique).
Étant donné le style de chant, mon esprit entendait: « Jésus sacré » et « Merci Jésus ». Je me dis alors que si que cette musique se nommait « EVOCATION » c’est qu’elle était une sorte d’appel à IESOUS (et non pas à « CHEEZWIZ » que j’entendais aussi). Cette pensée suffit à me mettre en contact avec le IESOUS de ma précédente existence.

« SOLAR LORD » (12’) déroule son phrasé sur un rythme lent et imposant, toutes les 5 secondes environ, une basse percute le chakra du cœur. Un drone et un « phasing » spéciaux font penser à de la « tamboura » et créent une atmosphère à caractère sacré.
Un motif joué au « synthé lead » serpente tout au long de la musique, de légers trilles de harpe s’échappent ça et là qui donnent une touche esthétique et provoquent un certain enjouement.
Dans l’ensemble, c’est un morceau calme et méditatif qui embarque sans effort l’auditeur dans les franges basses des fréquences THETA.
Cette musique m’a entraîné très profondément vers le centre de mon cœur là où j’ai perçu que luisait une étoile avant que mon troisième œil ne s’ouvre tout grand. Mais ce qui m’a le plus surpris dans cette composition c’est le fait suivant : Après quelques minutes d’écoute seulement, mon lecteur CD a brusquement cessé de fonctionner ! Et ce n’était là que le premier d’une longue liste d’étranges incidents techniques à se produire dans mon appartement, depuis que j’ai commencé à travailler avec la Musique Multidimensionnelle !
Mon lecteur de CD n’avait jamais fait ça, avant, et comme j’écoutais la musique dans le noir le plus complet, pas moyen de savoir si un court-circuit s’était produit. Les voyants de ma TV indiquant toujours l’heure correcte, je ne pense pas que le circuit entier ait sauté…

Le morceau intitulé « INVISIBLE PRESENCE » est une offrande de 20 minutes de musique spatiale extrêmement bien faite que je mettrais sur un pied d’égalité avec la musique pour planétarium de John Serrie. On pourrait facilement inclure ce morceau dans les enregistrements qui ont été réalisés dans l’espace interplanétaire : on reçoit l’immensité du cosmos en plein cœur.
INVISIBLE PRESENCE est un module de connexion consciente avec le SOI, notre être cosmique.
Bien que j’ai précédemment mentionné certaines affinités de cette musique avec l’énergie christique, on ne peut pas dire que cela soit flagrant et je ne pense pas qu’elle se limite à des frontières délimitées par la religion.
En tant qu’explorateur expérimenté de l’univers du SON, je déclare la musique de Jacotte pratiquement libre de toute tradition ; c’est d’autant plus flagrant quand on la compare à celle des autres artistes du (même) genre.
A mon sens, cet album se situe dans des fréquences cérébrales DELTA/THETA extrêmement relaxantes qui incitent aisément au sommeil.
Je voulais aussi vous conter ce qui m’est arrivé juste après ma première séance d’écoute. Je me faisais une tasse de thé en songeant à ce que je venais d’entendre, c’est alors que me revint à l’esprit ce que m’avait dit un ami, il y a bien longtemps:
— « l’essence de l’expérience psyché-délique c’est quand notre système nerveux réalise qu’il fait partie de quelque chose de plus grand que lui »–
A cet instant précis, l‘alarme de mon poêle s’est mise à biper…
Pour mettre cette alarme en marche, il faut faire deux mouvements en même temps: pousser et tourner un commutateur. Il semble donc que j’aurai actionné le tout sans m’en rendre compte ! J’ajoute que cela ne m’est jamais arrivé depuis plusieurs années que j’habite cet appartement ! Et puis, le « timing » était vraiment trop parfait …

DARV KRIZTON, VISIONARY SOUND ARTS INTERFACE.

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CREATION – Jacotte Chollet

ACTIVATION DES ARCHITECSONIQUES ANGELIQUES EN ONDE ALPHA

Il s’agit ici d’un enregistrement vraiment sensationnel et qui donne beaucoup de plaisir !!
A mon avis, tous ceux qui aiment et goûtent la musique genre Angélique ou Ascension vont vraiment apprécier cet album, qui est, si je puis dire, le frère orange des albums Solaris Universalis et Atlantis Angelis de Patrick Bernahrdt (qui tous deux s’accordent si bien aux couleurs de leurs couvertures respectives, tout comme celui-ci s’accorde avec l’orange clair velouté de la sienne). Sans mentir, j’avais les doigts de pieds en bouquet de violettes dès la deuxième minute de la seconde plage, et tout le reste a été un festin des sens. L’album débute dans un mode angélique classique, puis il évolue pour devenir de la « Space Music » tout-à-fait inspirée, qui se situerait entre Constance Demby au mieux de sa forme et Jonn Serrie, le compositeur bien connu pour sa musique électronique de planétarium.

Bon, voici ma théorie : les quatre premiers CD de cette série de 10, disons-le, vous « EPINGLENT ». Ils vous DIAGNOSTIQUENT, ils appuient sur le bouton RÉINITIALISATION, et vous voilà RECALIBRÉ, et vos ondes RÉHARMONISÉES.
Durant ce » réétalonnage énergétique », il est possible que des peurs inconscientes surgissent en liaison avec des mémoires ou des atavismes contenus dans ces souvenirs et que cela ne se limite pas a des visions oniriques, mais s’exprime aussi par des effets physiques et des sautes d’humeur.

Quant à moi, des perturbations se sont manifestées avec mon voisin du dessous. C’était comme s’il percevait les vibrations de façon subliminale et ne les supportant pas, claquait les portes et envoyait tout valser. Dès que je suis passé au CD « CRÉATION », ça s’est arrangé (je crois…), il est donc clair que ces résurgences inconscientes peuvent aussi se manifester concrètement dans la vie de tous les jours. Les quatre premiers albums opèrent donc une REINITIALISATION et cet album-ci est en fait le premier qui soit pleinement en mode « ALPHA » et qui permette SELON MOI de se focaliser sur l’information offerte par les ondes sonores. Vous avez entendu parler du « Biofeedback » ? Et bien, ici c’est DU BIOFEED : On apprend comment l’énergie évolue dans notre enveloppe bioénergétique et comment on peut la faire évoluer.

Cet album s’intitule CREATION, et c’est bien de cela qu’il s’agit, de se sentir créatif, de penser de façon créative et de créer des réalités, donc il est plutôt entraînant et dynamisant, tout en ayant un fort pouvoir de suggestion sur le plan visuel.

Le premier morceau « Heaven » est une impro ludique de 7 minutes sur des idées qui sont réalisées à la façon de Debussy, du genre « Prélude à l’après-midi d’un faune ». Iasos et Raphael de MAUI, les avant-derniers maestros de la musique Angélique, ont tous deux exploré ces atmosphères en des phrases impressionnistes qui, si on met de côté le reste de son oeuvre, démontre que Debussy était certainement conscient de niveaux qui transcende la dimension du physique. Il évoque des images d’un paradis tant magique que mystérieux, où règne une innocence animale et suggère quelque chose d’évanescent provenant d’une réalité supérieure qui parvient à se manifester miraculeusement dans une réalité plus dense.
C’est un vrai plaisir que d’écouter l’œuvre de Jacotte, avec ce ‘zing’ qui m’attire tant dans sa musique.
Ce morceau donne le ton à tout l’album. Il est clair qu’il s’agit là d’une vibration de fréquence ALPHA moyenne qu’il est facile d’écouter tout en restant alerte et conscient des modulations énergétiques qui s’opèrent en nous.

« Magical » est un tour de force d’ambiance angélique SOMBRE qui dure 8 minutes ! C’est à partir de là que cet album a commencé à m’enchanter.
C’est un chant profond, sombre et mystérieux qui en même temps exprime ce que j’ai décrit au début comme quelque chose d’étrange, au meilleur sens du terme. C’est un peu comme ce qu’on ressentirait si on se rendait compte que N’IMPORTE QUOI peut se produire. Comme si on se trouvait dans un rêve où les choses ne tiennent pas tout à fait debout, quoi que l’on sache que si ; mais à première vue les gens se comportent de façon un peu bizarre. On sent qu’on a le pouvoir de choisir intuitivement certains états dans un océan de possibles. Enfin, voilà ce que ça m’a suggéré, en tout cas…. C’est un peu comme au petit jour entre chiens et loups, quand le Voile est à peine manifeste….

Les dix minutes de « Oratorio » nous portent jusqu’à un Océan de Lumière. Je pourrais nommer nombre d’artistes qui ont Voyagé dans ces contrées, mais Jacotte pare cela de moments angéliques cristallins qui pour moi évoquent entre autres l’album fantastique de Raphael : « Angels of the Deep », ou par certains points le « Sea of Glass » de Giles Reaves. Mais, je le répète, ce CD se situe quelque part entre Demby et Serrie et quant sa réalisation est remarquable, de la même classe ! Le courant océanique ne tarde pas à devenir aérien, avec une pulsation prononcée au chakra de la gorge dans le registre ALPHA. Hé, cet album me maintient éveillé !! À peu près à la moitié, l’accent est mis sur le cœur (et donc sur l’expression par le cœur) et cela nous mène à la guérison avec une fugue qui ralentit jusqu’à devenir une transe dans les ondes THETA moyennes.
Toute cette séquence est si bien arrangée et exécutée qu’elle me laisse dans un vrai état de révérence.

« Condor Flight » nous ramène à un niveau ALPHA relaxé mais alerte, pour un voyage planant dans un environnement à la Michael Hammer, qui fait penser d’abord à un survol de pics terrestres, mais qui ne tarde pas à dépasser même les nuées, pour partir dans des régions étheriques que tendent à parcourir des intuitifs extrêmes tels que Hammer ou des artisans voués au monde mystique tels que le compositeur de paysages intérieurs Tibétains David Parsons. Le dernier tiers de ce morceau de 10 minutes nous apporte une impression de découverte comme s’il nous était donné d’apercevoir notre gîte, notre Nid primal.
On se retrouve dans un lieu familier, mais avec un sentiment de révélation et d’émerveillement, comme si on l’avait quitté, il y a si longtemps, qu’on l’avait oublié. Et l’on s’y sent bien accueilli…

La cinquième plage « Cosmic Love » débute comme la « bliss musique » (musique du bonheur suprême) de Kip Mazuy. Je ressens un intense et profond sentiment d’amour, je me réfère à mon chakra du cœur, et je m’aperçois — !! –que c’est dans mon chakra coronal que cela se passe et que je suis au bord de l’extase !!
Grands dieux !! et il y en a pour 12 minutes ?? Vacillements au bord du Chaos Divin, frémissements dans les délices d’ambroisie de la Lumière blanche qui baigne la pièce et qui danse sur la peau comme un toucher de déesse. Il s’estompe et se met à tourbillonner, cet Océan de Lait, que j’appelle le Bonheur suprême de Pure Ananda, le Nectar de Joie. Assis sur une feuille de lotus, on médite sur les Secrets, en dinnant de mets délicats offerts par le Divin. Puis dans les deux dernières minutes,
Descente du trône de la conscience supérieure vers le Corps, tellement restauré et apaisé – on se souvient de sa Demeure corporelle; puis retour en ALPHA pour la fin (tiens, c’est justement l’heure du thé !)

Avec le morceau final de 17 minutes, « Space Song », on franchit le seuil d’un royaume de paradoxes dont notre voix intime nous dit que c’est de là que provient la Volonté. Il ne s’agit pas là simplement d’espaceS galactiques ou intergalactiques, mais de quelque chose de plus proche du Plérome ou du Logos, c’est-à-dire, d’un Vide au Potentiel Absolu. Cet espace crépite de puissance et d’Action. C’est comme une Volonté transrationnelle qui opérerait d’une manière que nos corps ne sont pas CONÇUS pour comprendre.

On pourrait aussi dire que cet espace est celui de l’Imaginaire : une région qui ne fait pas partie de l’espace, tout en y étant replié dedans et rempli de millions de milliards de nouvelles formes et de vibrations qui en jaillissent à chaque millimicro-instant ; puis on a l’impression de filer vers les limites extrêmes de l’ETRE, et on se retrouve profondément immergé dans une réalité que l’on n’a pas vraiment le moyen de décrire, mais que la musique semble savoir bien mieux exprimer que les mots… Si « Creation » est d’emblée, par sa totale exubérance et sa force positive, mon CD préféré de la série, c’est que le fait de me faire EPINGLER (énergétiquement) par les quatre premiers CD m’a donné une base solide pour pouvoir synchroniser mes vibrations avec cet album sans avoir à vivre passer des « abréactions » trop extrêmes (*abréaction = manifestations énergétiques dans le corps). J’ai mentionné les deux premiers albums classiques de Patrick Bernhardt en les comparant à celui-ci, et je crois que c’est juste.

Pour moi, cette musique trouve des échos dans mon vécu par rapport à des mémoires Atlantidéennes et Lémuriennes et facilite mon développement personnel en me rendant mieux à même de comprendre ce qu’est « l’Ascension ».

Cet album est un MUST pour les amateurs de musique angélique synthétique.

DARV KRIZTON , VISIONARY SOUND ARTS INTERFACE.

sky dancing jacotte chollet

SKY DANCING – Jacotte Chollet

UNE EUPHONIE UNIQUE EN ONDES ULTRA MYSTERIEUSES
Après deux albums très joyeux et relaxants, on aborde avec SKY DANCING le thème de la Découverte et du développement spirituel.

C’est comme si, après avoir suivi des cours pour apprendre à développer son pouvoir personnel créatif et pour apprendre à recevoir le bien-être et l’amour inconditionnel, on abordait maintenant le sujet de la responsabilité, la capacité à répondre, à prendre la mesure de la tâche devant soi, à s’y atteler pour opérer la transformation nécessaire. C’est un des albums de Jacotte que je trouve le plus difficile à décrire, tant sa qualité est suprême : « sine qua non. »

« CRYSTAL TONE » est une pièce de 9 minutes, qui induit un envol intérieur avec des sons de clochettes qui se réverbèrent en écho et s’entrelacent avec un bourdon sinueux synthétique. C’est le premier morceau dont j’ai noté le titre en pensant ; « oui, celui-là, j’ai envie de le réécouter ». Arrivé à ce point dans la série, il m’était plus facile de rester attentif durant l ‘écoute, car que je n’avais plus d’abréaction (réaction énergétique forte). Cette pièce assez courte est comme une intro au climat général du CD, dans les franges basses et moyennes de « l’ALPHA » inférieur à moyen, c’est une une culmination des deux précédents CD SILENT LIGHT et CRÉATION et SKY DANCING introduit une vibration d’un niveau supérieur que l’on retrouve dans les CD suivants de la série. La

« DIVINE SAGA » de 20 minutes fait très bon usage de la quinte harmonique et est centrée sur la relation entre les chakras de l’ombilic et de la gorge pour une part ainsi que ceux du plexus solaire et du troisième oeil, me semble-t-il. On prend conscience des énergies qui concernent la sexualité, la domination et la compétitivité. Une voix qui rappelle le son du dauphin et qui résonne dans la tête permet de se rendre compte où l’on en est en ce qui concerne ces énergies. On se sent donc en vol, mais c’est comme un Survol avec Observation. Pour moi cette saga offre un caléidoscope d’images illustrant l’usage de l’énergie et du pouvoir.

Dans le morceau suivant, intitulé « ANGEL CHOIR », ona toujours ce sentiment d’être en vol mais, on a en plus l’impression de tournoyer en spirale. On ressent des émotions remarquables que mes mots sont maladroits à exprimer, mais que je décrirais comme l’émerveillement que l’on éprouve face à la beauté des mondes sidéraux inconnus, des univers « extra dimensionnels » d’une « beauté étrange », comme on les qualifie parfois, mêlée à un peu d’appréhension, (un léger tremblement qui vous prend quand on se trouve en face à face avec l’inconnu et que l’on ne sait pas ce qui pourrait se produire) et à un sentiment de découverte.

« SKY DANCING », le morceau qui donne son titre à l’album est une Ascension de 10 minutes dans laquelle on reçoit le Divin Nectar en provenance de régions supérieures au-delà du sommet. Quelques minutes plus tard, nous atterrissons sur la tête de l’épingle, pour ainsi dire, et nous nous trouvons enveloppés dans une atmosphère incandescente et raréfiée pleine d’entrelacs et d’entrecroisements géométriques, à la fois cristallins et électromagnétiques. Nous sommes si légers que nous flottons dans ce milieu. Tout danse autour de nous. Le ciel danse, la voùte céleste utor de nous et en nous. C’est Incroyable ! Puis insensiblement tout devient fluide et se transforme en un océan de nectar dans nous nous laissons flotter et dériver au gré du courant…

Avec « INFINITY » (12 minutes), on se laisse glisser tout au long le long d’un Tunnel de Lumière dans lequel la lumière est réverbérée par une multitude de miroirs, avant qu’un vrai pinacle de lumière ne revienne nous éclairer renvoyé par un infini écho . Nous volons vers l’UNITÉ Eternelle qui s’étend au delà de toutes limites.. C’est pour entendre des choses comme ça que je me suis passionné pour la musique électronique. Génial !

DARV KRIZTON , VISIONARY SOUND ARTS INTERFACE.

SILENT LIGHT – Jacotte Chollet

Cela fait maintenant un mois que j’étudie ces disques et leur effet énergétique est de plus en plus prononcé. C’est comme si les contours de mon « hologramme » intérieur étaient devenus plus clairs, de la même façon qu’une image est plus nette quand la mise au point est précise.
Il me semble aussi que j’arrive de mieux en mieux à recevoir l’énergie depuis les multiples dimensions de mon être. Je dors mieux, dès l’éveil, je suis prêt à sauter du lit dans un bel état de fraîcheur. Intéressant !

L’ALBUM LE PLUS DOUX ET LE PLUS RELAXANT QUE JE POSSÈDE.

C’est à la fois nourrissant et réconfortant, comme une grande goulée de nectar de lavande ou comme se prélasser sur un lit de fleurs odorantes.
Après les fortes résonances qu’ont provoquées en moi les trois premiers albums et la restructuration profonde de mes énergies dissonantes qui s’en est suivie, après la magnificence du disque « CREATION », c’est une douce et tendre expérience d’amour inconditionnel et nourrissant qui nous est offerte.
Les seules vraies « abréactions » que ce disque a produit en moi se sont manifestées sous la forme de visions flamboyantes et de rêves lucides que j’ai faits dans un état de semi somnolence.
Non ! je n’avais pris aucune substance psycho active !

L’album ouvre sur « SILENT LIGHT » un savoureux voyage de 15 minutes dans les mondes de Lumière piloté par les ondes THETA. Surfant sur des feuillettes de Lumière transparentes, nous voguons vers le Cœur d’une Aube qui n’en finit pas d’approcher. On se sent enveloppé, nourri, guéri par la douceur de cet « UNIO Mysterium ».
Durant les dernières minutes, cette vibration nous fait plonger encore plus profondément en nous-même jusqu’à atteindre les franges supérieures des ondes DELTA, on a envie de fermer les yeux et de se relaxer à fond.
Quand le musique s’achève, je flotte suspendu entre veille et sommeil.

« AWAKENING » (EVEIL) ,(13 minutes) nous tire de cet état « cotonneux» pour nous propulser dans le monde du rêve, c’est le fameux état paradoxal : esprit alerte-corps endormi.
Il me semble que cet état se rapproche d’une certaine façon de ce que j’ai déjà vécu avec le CD CREATION, mais, alors que dans « CREATION » il s’agissait de se livrer à la « création consciente », cette fois, c’est de « création inconsciente » qu’il est question…
En termes magiques, je dirai que « la création consciente » est un acte que l’on accomplit alors que la « création inconsciente » est un processus que l’on laisse s’accomplir. C’est dans les états jouxtant le rêve que s’effectue cette alchimie particulière.
Paradoxalement, peut-être, est-ce cette capacité à créer en état de semi conscience qui caractérise le processus que l’on appelle ordinairement l’EVEIL ?

« SOUL MEMORY » : 8 minutes de musique d’ambiance qui suscitent un état intérieur que je nommerai la Réflexion, c’est un état d’intense introspection qui permet de réfléchir à un problème ou d’approfondir une idée.
Cette composition fait office de pont entre différentes sections de l’album et fonctionne comme une sorte « d’aire de repos ». Un temps nous est donné pour intégrer les différentes impressions suscitées par les deux premières plages. On a la possibilité de se centrer et de « reprendre ses esprits » avant d’aborder la dernière musique…

« TAO » est une épopée de 22 minutes qui dessine une merveilleuse fresque dans les fréquences DELTA. Bien que son rythme soit lent et qu’elle tende à susciter un état de sommeil, cette musique est pleine d’énergie et de vie, il s’y passe des quantités de choses !
Des sons de cloches créent une atmosphère de chambre sacrée, mais leur « pitch » a été étendu, effilé, étiré… C’est cette capacité particulière à transformer les sons électroniques qui a tout d’abord attiré mon attention vers le travail de Jacotte.
Ce morceau entraîne l’auditeur bien au-delà des expériences « standard » d’écoute qu’il a pu avoir avant c’est pourquoi je ne conseille pas de l’écouter en travaillant.
Le son en est oblique, bizarre, étrange, mais cette « facture sonore » extrêmement élaborée rend cette musique délicieusement intrigante.
C’est probablement le CD le plus doux et le plus adorable de toute la série.
J’adore m’endormir avec cette musique aussi douce que du miel.

DARV KRIZTON, VISIONARY SOUND ARTS INTERFACE.

high spaces jacotte chollet

HIGH SPACES – Jacotte Chollet

UN NOUVEAU SAUT QUANTIQUE ME MET AU PIED DU MUR.

Vous avez dû noter que les très fortes abréactions réactives qu’avaient suscité en moi l’écoute des premiers CD de Musique Multidimensionnelle n’avaient pas eu de suite. Rien de comparable ne s’étant produit à l’écoute des trois CD suivants : CREATION, SILENT LIGHT et SKY DANCING (ni ajustement énergétique notable, ni émotions fortes, ni bizarreries synchroniques), j’étais tout fier de moi.
Je me disais que j’avais atteint un niveau satisfaisant d’équilibre bioénergétique et que j’étais un explorateur avisé du monde des fréquences… Et bien non ! Pas tout à fait !
Les trois compositions de ce disque sont des « sphères », des champs vibratoires d’information vivante.

La première plage : « SPHERE D’AMOUR » est une synthèse d’amour intense, certes, mais cet amour-là n’a rien à voir avec ce que l’on imagine de l’amour céleste, c’est un champ vibratoire d’énergie spirituelle à fort pouvoir transformateur.
Quand j’étais bébé, ma mère changeait mes couches, et ce n’était pas toujours au moment où je le souhaitais moi même, et, tout en faisant son possible pour se montrer douce et aimante, elle les changeait quand même (vous voyez ce que je veux dire ?).
Et bien : c’est à peu près ce qui m’est arrivé avec ce CD : « on » a changé mes couches sur un plan métaphysique, si je peux m’exprimer ainsi (!)
A peu près à mi écoute, ma colonne vertébrale s’est brusquement arquée et mes vertèbres thoraciques inférieures ainsi que mes lombaires ont craqué et se sont réalignées.
Je n’ai pas souvenir d’avoir jamais vécu un tel réalignement de mes vertèbres, et, en tous cas, cela ne m’est JAMAIS arrivé sans l’aide active d’un thérapeute ! ET bien, c’est pourtant ce qui m’est arrivé au cours de l’écoute : ma colonne vertébrale s’est soudain arqué et mes vertèbres se sont réalignées toutes seules !
Après cela, quelques craquements additionnels ont eu raison des calcifications qui s’étaient formées suite au mauvais alignement de mes vertèbres. Pendant les 5 dernières minutes, j’eus l’impression qu’on insérait des cartes à puce de neuro information à l’intérieur de mes vertèbres.
Ce que je peux dire, c’est que tout s’est passé sans décision consciente de ma part : comme si « quelqu’un » avait fait craquer les os de mon dos à ma place !

Les 13 minutes de la seconde musique « SPHERE DES ORIGINES » me font plonger encore plus profondément en moi-même, je prends conscience de ce qui se passe à l’intérieur de mon crâne. J’y perçois des tensions, puis ces tensions s’effacent à la suite d’un mystérieux processus énergétique qui me donne l’impression qu’une arcane (quelqu’un) chuchote dans mon oreille. C’est comme si « on » avait dissous le coton qui me bouchait les oreilles avec du peroxyde d’hydrogène.
Peut-être était-ce moi qui me suis bouché les oreilles pour ne pas entendre la voix de ma conscience ? Je me centre sur mon chakra du cœur pour écouter son message, j’ai la sensation de fondre, je baille, je me sens profondément relaxé, je vais basculer dans un profond sommeil, je me dis que c’est peut-être une réaction de fuite, puis je m’assoupis. Dans mon rêve fantasmagorique, j’ai l’impression que quelqu’un vient m’arrêter (ce qui ne m’est jamais arrivé en réalité).
Je me dis que c’est peut-être la manifestation symbolique d’un arrêt dans mon développement personnel, mais la musique s’achève au même instant.

Un souffle divin aussi exotique que spectaculaire empreint les 26 minutes de la dernière composition : « SPHERE D’EVOLUTION »; je place cette musique sur un plan d’égalité avec les sublimes « Voyages Astraux tibétains » de David Parson.
Décrire son atmosphère n’est pas chose facile, des gaz incandescents et des structures gigantesques d’où émane un réel pouvoir de transfiguration peuplent ces hauts espaces qui n’ont rien d’humain.
Dans ces royaumes d’où émane un « ordre » que je qualifierai d’éminemment naturel, on subit des métamorphoses que je qualifierais de trans-dimensionnelles Tout semble couler de source, je me fonds littéralement dans le paysage, j’y ai ma place, j’ai envie de m’y laisser dériver, de m’y installer… J’ai l’impression de recevoir une avalanche d’informations dont je n’ai pas une conscience très claire, mais je sens que j’intègre ces informations inconsciemment.
Les dernières 8 minutes sont vraiment mystérieuses, on est imprégnés par le sentiment de la gravité et de la profonde nécessité d‘un tel ordre cosmique.
Je lutte pour ne pas m’endormir, pour ne pas rater ce qui se passe dans cette « machine à transformer », tout est sombre autour de nous, je danse autour d’un feu en compagnie des autres membres de la tribu, les flammes vacillent, la lune éclaire les roseaux…C’est la danse de la grande transformation.

Pour moi, cet album est dédié aux forces titanesques de la transformation. Je regrette mon manque de clarté dans les descriptions, mais j’ai réagi très fort à cette musique et j’ai du lutter pour ne pas sombrer dans un profond sommeil.
Ce que je peux dire, c’est que ce disque est d’un niveau spirituel très élevé, qu’il nous apprend que le changement et la transformation sont inévitables, et que, rien ni personne n’en n’est exempt sauf le changement lui même.

DARV KRIZTON, VISIONARY SOUND ARTS INTERFACE.

INSPIRATION –  Jacotte Chollet

UN ÉTONNANT TISSU SONORE RÉVÈLE DES MERVEILLES DE CRÉATIVITÉ

Alors que nous touchons à la fin de notre Odyssée dans l’univers vraiment unique de la Musique Multidimensionnelle, quel plaisir de découvrir ce délicieux double album!
Le coffret se nomme INSPIRATION, c’est aussi le nom du premier album dont il est ici question, le 2ème album se nomme ASCENSION.

Alors que les disques s’empilent autour de moi, je dois avouer que mon attention est restée concentrée depuis un certain temps sur cette série…
Que voulez-vous, c’est plus fort que moi, je ne peux résister à cette délicieuse musique !

Si vous lisez toutes mes critiques, vous verrez que je n’ai pas employé plus d’une fois, l’expression « des douceurs pour l’oreille », sans doute parce que je réservais inconsciemment cette expression pour la Musique Multidimensionnelle.
Cette musique n’est ni sucrée ni sirupeuse, on ne peut pas dire que c’est un « velours sonore » non plus : Mais quand on a réussi à chevaucher sa vibration on est « scotché » et on n’a plus d’autre envie que de l’écouter encore et encore.
Non, elle n’est pas addictive, mais son appel est aussi irrésistible que celui du nectar pour les abeilles, on sent que l’on est nourri par quelque chose d’intrinsèquement sain.

D’autres artistes procurent ce sentiment, je pense à – Hammer, Bernhardt, Mazuy – mais ce que j’aime par-dessus tout dans la musique multidimensionnelle, c’est qu’elle est non seulement d’une radicale beauté, mais qu’elle nous laisse libres de l’écouter aussi bien dans l’immobilité la plus absolue qu’en mouvement et cela sans s’appuyer sur aucun beat ni aucune rythmique.

INSPIRATION est une musique qui se situe « hors du temps », on l’écoute aussi bien le matin, qu’à midi, l’après midi, le soir et même très tard dans la nuit.
C’est quand on la compare aux autres musiques du même genre que l’on se rend compte qu’elle est vraiment intemporelle, et bien qu’elle semble relativement simple dans sa construction, plus vous l’écoutez et plus vous découvrez sa richesse.
C’est remarquable ! Je crois qu’on aurait pu donner comme titre à cet album  « Maîtrise ».

La première plage « BALLADE SPHÉRIQUE » ouvre sur 4 minutes de synthé classique à base d’instruments à vent, bizarrement agencées qui créent un double sentiment de découverte et de plaisir du jeu …
Jacotte a composé plusieurs pièces courtes de cette nature capables d’évoquer des émotions spécifiques sans se servir d’aucun clichés pour transmettre son message. On se surprend, à rester concentré pour déterminer l’exact état intérieur qui est décrit et à sourire intérieurement devant l’humour, la simplicité et la désinvolture dont le message est empreint.

« GOLDEN LIGHT » révèle un environnement divin qui rappelle par sa saveur et sa couleur une de mes plages favorites de Raphael « Comme une rivière sans fin » (de l’album du même nom).
C’est une spirale sonore qui glisse sans effort à travers un tunnel de lumière et se prolonge à l’infini. On est baigné par une lumière dorée infusée ça et là de pourpre royale, on vogue sur les rayons d’une lumière ondoyante traversée ça et là par des flux d’incandescence et l’ON ressent une profonde satisfaction.
Cette composition ferait un malheur à la radio !

La plage « INSPIRATION » est plus océanique mais la substance dans laquelle nous flottons est aussi « vif-argent » que le mercure.
La pourpre profonde s’éclaire doucement de tons pastel et la lumière prend des irisations argent qui évoquent une brume finement cristalline. Nous sommes dans le mercure liquide, des filaments de lumière divine sont habités par une intelligence occulte. Des brassées d’idées nouvelles surgissent dans tous les sens.

« GRATITUDE » offre un voyage de 14 minutes dans les profondeurs de notre inconscient. Le vide se révèle être un plenum d’absolu potentiel débordant d’énergie et de créativité. Cette matrice trans-universelle accouche constamment de nouveaux enfants et s’ouvre à des profondeurs insondables qui se révèlent être des sommets.
Nous comprenons que nous sommes nés dans cet infini plus profond que l’espace lui même qui est en nous et nous traverse.
Il est clair que ces idées nouvelles, ces étoiles qui brillent infiniment c’est NOUS, Nous sommes rentrés au bercail, à « la maison » et nous réalisons que nous n’avons jamais cessé d’être invité à y rentrer.

La dernière plage « SOMA » est une épopée qui incite à la dévotion : ciel rempli d’étoiles qui manifestent leur existence en clignotant par dessus de nos têtes et qui pointent leur nez comme autant d’ampoules que l’on allumerait l’une après l’autre.
Des spirales d’amour subtil caressent notre âme, et c’est alors que l’on se souvient de ces royaumes « de tous les commencements et de toutes les fins », d’où on n’a jamais cessé de recevoir, au cours de multiples existences, toute l‘aide et le soutien nécessaires à l’accomplissement de notre rêve d’un amour infini.
On sent qu’on vient d’achever un tour complet du cercle, qu’on est au sommet de la montagne et c’est alors qu’on réalise qu’on y a toujours été, et qu’on éprouve un sentiment de triomphe doublé d’un vrai soulagement.

Je tente de décrire ici une musique qui se situe bien au-delà des qualificatifs et qui vient sans doute de l’au-delà.
Même si ces essais paraissent brillants, j’ai quant à moi l’impression que mes tentatives pour en rendre compte sont partielles et qu’au mieux je traduis un des aspects d’un joyau qui étincelle de mille facettes.

DARV KRIZTON, VISIONARY SOUND ARTS INTERFACE.

ASCENSION – JACOTTE CHOLLET

UN MAGISTRAL POINT D’ORGUE.

Quand on pense à un album intitulé « ASCENSION », on se dit que ça doit être aérien, qu’il doit y avoir des flûtes et des harpes, des atmosphères raréfiées peuplées d’arcs en ciels et d’aurores boréales.
La collection de 4 disques : « Musiques pour l’ASCENSION » de Michael hammer, les « harmoniques de l’Ascension » de Richard SHULMAN et Samuel Welsh, les classiques « Novus magnificat » et « AETERNA » de Constance DEMBY (peut être la première compositrice de musique spirituelle associée aux mystères de l’ASCENSION) ; tous ces enregistrements présentent une glorieuse vision du triomphe final de la lumière sur l’ombre. (Bien sûr Hammer a crée une musique qui a pour titre : « à l’intérieur du vide » mais c’est un vide qui bruisse de lumière. Je n’oublie pas non plus les enregistrements d’Elizabeth Claire Prophet qui n’occultent pas le versant sombre par une positivité à tous crins.

C’est pourquoi je trouve particulièrement remarquable cet album dont le langage symbolique se réfère à « la conscience » et au monde des quanta, ce qui le distingue radicalement des albums précédemment cités qui usent de métaphores et de mythes impliquant plans galactiques et familles d’âmes.
Depuis leur titre jusqu’à leur ambiance, tout est cohérent dans ces compositions qui nous entraînent à la découverte de mystérieux royaumes dont la finalité ultime se résume à un minutieux travail de « nettoyage » et de « transformation » …
Ici, pas d’évocation de la victoire de la lumière sur l’ombre souvent présentée, au demeurant, d’un simple point de vue esthétique quand le versant ombre n’est pas tout simplement oblitéré ; Non, ce dont il s’agit ici, c’est d’éclairer l’ombre à la lumière de la conscience, d’infuser de la lumière dans l’ombre, de transmuter l’ombre en lumière !

La première plage de 8 minutes « VORTEX » commence par ce qui me semble être l’œuvre d’un gigantesque oiseau primordial, peut être l’oiseau-soleil lui-même qui s’affaire à tresser des fils pour confectionner un nid, ce nid n’étant autre que le point focal de la spirale du nombre d’or. C’est un vortex en forme de tore qui étire et agrandit tout ce qu’il attire à lui en l’avalant avec la force d’un raz-de-marée. Une très agréable glissade nous emporte jusqu’ au point focal et l’on se retrouve comme suspendu au beau milieu d’une mer d’étoiles.

« PLASMA » nous propose un voyage de 15 minutes dans ce qui semble, à première vue, être du « mastic ».
Le firmament étoilé est de nature élastique et on a l’impression d’être soi même « étiré », « étendu » comme si on était à la surface d’un ballon que l’on gonfle.
Quant à moi, je qualifie cette atmosphère de « lumière liquide d’étoile ».
J’imaginais que le plasma des espaces intersidéraux était un fluide électromagnétique incandescent qui ressemblait à de la lave liquide sauf qu’il était pure énergie. Je me demande à présent si cette substance stellaire ne serait pas analogue au plasma de notre sang ?
La lumière qui en émane évoque plus des cristaux liquides finement granulés que des nuages de gaz incandescents. On flotte doucement dans un océan de lumière liquide et l’on sent que notre masse physique y est remodelée, redistribuée, qu’elle s’agrandit jusqu’à épouser les coordonnées parfaites du nouveau gabarit.

Durant les 9 minutes et demi que dure ETHER, tout devient sombre et on a l’impression de plonger dans le vide. On découvre un espace sans étoile dans lequel on devine quelques nuages moléculaires. Il y a très peu de lumière, et après avoir traversé une sorte de membrane, on atteint un endroit vraiment reculé. Puis tout se met en mouvement et l’on sent une activité au niveau du 3ème oeil et du chakra coronal, mais il n’est pas facile de décrire ce qui se passe car tout est très sombre ici.
Je me demande si je ne suis pas en train d’observer les processus de transformation à l’œuvre dans mon inconscient. Et puis, soudain, un nouvel élan précipite la cohésion de l’ensemble et tout s’unit en un grand cristal qui résonne en plein cœur.

Je n’ai pas fait mention des émotions ressenties durant mes premières écoutes de la plage « ASCENSION » (16 minutes) : sentiments de mystère, d’inconnu, de crainte mêlée de respect à devoir traverser des espaces qui semblent aussi éloignés de notre échelle humaine.
ASCENSION est véritablement apocalyptique : ce qui était caché est révélé en pleine lumière et cela peut se traduire soit par une rencontre avec le Divin soit par une prise de conscience de ce qu’on avait réprimé en dessous du seuil de conscience (en ce qui me concerne, j’ai été quelque peu secouée lors de la mise en lumière de mes parts d’ombre). Je ne blague pas.
Cette musique thérapeutique a les vertus d’une véritable « purge sonore », en pulvérisant les attaches avec ce qui nous leste, elle nous libère de l’emprise de la gravité et nous révèle de quoi ce voile était fait.

« COSMIC POWER » (12 minutes) la dernière pièce de cet album est une infusion de lumière dans « ce qui était fermé ». Le processus est très subtil. La Lumière infuse doucement notre corps énergétique, elle l’irradie, c’est une lumière douce qui rappelle la lumière d’or indirecte des temples des traditions magiques.
L’emphase est clairement mise sur le pouvoir de guérison miraculeux de « LA LUMIÈRE une et indivisible » et ceci est en parfait contraste avec « l’extase de brillance » à laquelle nous ont habitué les autres musiques d’ASCENSION.
Ici, on apprend à « laisser la lumière » pénétrer doucement à l’intérieur de son corps jusqu’à ce qu’elle emplisse ce « vaisseau » d’une radiance proportionnelle aux capacités dudit vaisseau à la gérer.

Cet album n’est donc pas le typique voyage angélique vers les sommets de la lumière, c’est une sorte d’odyssée quantique vers les profondeurs de l’inconscient universel là où se rencontre l’UN et ce qui le cachait : notre ombre.

Le propos est ici de faire pénétrer la lumière jusque dans les tréfonds de notre être afin de la répandre autour de nous qotidiennement.
Il s’agit de contacter les parts de notre être qui sont encore dans l’ombre pour leur offrir la lumière en cadeau, les infuser, les transformer par la lumière.

En tant que point culminant de la série toute entière, « ASCENSION » cristallise les leçons de chacun des CD de musique Multidimensionnelle, c’est une sorte de point nodal autour duquel ils irradient tous en une véritable constellation.

DARV KRIZTON, VISIONARY SOUND ARTS INTERFACE.

CD RÉCONCILIATION « Un chef d’œuvre de musique méditative qui apaise, qui nourrit, qui guérit… » Ouverture du cœur – Pardon – Compassion – Anti stress – Relaxation profonde – Harmonisation vibratoire – Méditation – Massages – Enfants – Yoga.

RECONCILIATION – Jacotte Chollet

L’ALBUM RECONCILIATION DE JACOTTE CHOLLET EST UN CHEF D’ŒUVRE DE MUSIQUE MÉDITATIVE !

« RECONCILIATION » est empreint d’une douceur et d’une suavité qui ne sont pas sans rappeler « SILENT LIGHT » un de mes album favoris pour le développement spirituel.
C’est, à ce jour, son album le plus « méditatif » : 5 plages relativement longues déploient un tissu sonore d’une grande douceur qui incite à la méditation. Les différentes plages de cet album transforment chacune à leur manière, en diffusant des fréquences spécifiques qui ré alignent nos différentes enveloppes énergétiques.

La maîtrise de Jacotte Chollet en ce domaine est évidente, c’est un véritable plaisir à la fois émotionnel, sensuel aussi bien qu’intellectuel que d’être traversé par ces mystérieux sons.

Les « travailleurs de Lumière » et ceux qui aiment la musique angélique apprécieront beaucoup cet album et ceux qui cherchent un environnement sonore qui soit aussi méditatif que transformateur et guérisseur en douceur seront comblés par cette musique !

DARV KRIZTON, VISIONARY SOUND ARTS INTERFACE.

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